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==מנהל==
בהתאם ל[[חוק הים]] כפי שנקבע בהסכם הבינלאומי על זכויות ימיות (1982) יש לצרפת מסביב לאי אזור כלכלי אקסלוסיבי ZEE (Zone économique exclusive) המכסה שטח של 435,600 קמ"ר (יותר מהאזורים הימיים של צרפת המטרופוליטנית - המסתכמים ב-345,000 קמ"ר).
במרחב הזה לצרפת זכויות ריבוניות לכל סוג של פעילות. האקדמיה הצרפתית למדעי הטריטוריות שמעבר לים המליצה עוד בשנת 1981 להקים על האטול בסיס דיג, לפתוח מחדש הלגונה של האטול , המכונה "לגון" ולשקם את מסלול הקיים למטוסים.
 
Depuis l'adoption en [[1982]] de la [[Droit de la mer#La convention de Montego Bay (1982)|Convention internationale sur le droit de la mer]], l'îlot confère à la [[France]] le droit de contrôler et d'exploiter tout autour de l'île une [[zone économique exclusive]] (ZEE) de {{unité|435612|km|2}} (c'est-à-dire, sensiblement, un cercle de {{Unité|200 milles}} nautiques de rayon). L'[[Académie des sciences d'outre-mer]], dès [[1981]], a recommandé la mise en place sur l'atoll d'une base de pêche, avec réouverture du lagon et réhabilitation et extension de la piste aérienne existante.
 
Après avoir été sous la juridiction des [[Histoire de la Polynésie française#Les Établissements français de l’Océanie de 1880 à 1946|Établissements français d'Océanie]] dès [[1936]] puis de la [[Polynésie française]] jusqu'au {{Date|18|mars|1986}}, l'île relève aujourd'hui du [[domaine public en droit public français|domaine public]] et est inscrite au tableau des propriétés domaniales de l'État français. Elle est, à ce titre, sous l'autorité du [[ministère de l'Outre-mer|ministre chargé de l'outre-mer]], autorité qu'il délègue au [[Haut-commissaire de la République en Polynésie française|haut-commissaire de la République]] en [[Polynésie française]], représentant de l'État, à qui il appartenait d'accorder des autorisations aux particuliers désirant aborder l'[[atoll]] ou y obtenir des concessions d'exploitation.